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     - Lire l'article ci-dessous - 

     

     

     A mon humble avis, bien trop d’Amérindiens de Guyane, ont une « confiance aveugle » envers le « Francais », et ceux malgré, le mépris historique que celui-ci leur témoigne depuis des lustres et des lustres...

     Et donc, je ne comprend pas pourquoi les Amérindiens de Guyane ainsi que certaines de leurs associations, sont "satisfaits" des recommandations de la Commission nationale des droits de l’homme (CNCDH) les concerrnant.

    Je n'arrive pas à comprendre pourquoi les Amérindiens de Guyane sont dans cette attitude de soumission et d'aliénation vis-à-vis de l'expansionniste français, qui n'a que faire d'eux, et qui veut dans le même temps entend donner des leçons de "respect de l'environnement" au Brésil avec un zèle rare !

    En outre, je ne comprend pas la logique de la CNCDH, qui voudrait faire "reconnaitre" des peuples autochtones dans des territoires extra-européens et colonisés de l’Outre-Mer.

    Alors que la CNCDH, n'a pas la même démarche pour les minorités nationales, ethniques, linguistiques et religieuses en France hexagonale (en vertu du droit international) !

     

     

     

     

     

    Un combat politique "naïf" : 

     

     

    Des associations amérindiennes de Guyane, mènent depuis des années, un combat politique pour la revendication de leurs droits. 

    Néanmoins, cette lutte, telle qu'elle est menée (en quémandant des droits au "Pouvoir français" à Paris) ne pourrait que « fractionner » à terme le territoire guyanais.

    Bref, il semblerait que les doléances de certaines associations amérindiennes ("loyales envers la souveraineté de l'Homme blanc") soit de "segmenter" le territoire guyanais :

     

    - en réclamant un statut officiel de « Peuple(s) autochtone(s) » pour les Amérindiens de Guyane 

     - en réclamant de vastes terres réservés aux Amérindiens de Guyane

    -  en réclamant des droits culturels et politiques spécifiques pour les Amérindiens de Guyane

    -  en réclamant la protection des Amérindiens de Guyane et de leurs lieux de vie par l’armée française ???

     

     

     

     

     

    « L’Intérêt amérindien »  :

     

     

    Franchement, ces associations amérindiennes , semblent totalement "déconnectées du réel", en plus d'être immatures, et ne défendent que « l’Intérêt amerindien » au détriment des intérêts supérieurs et communs de la Guyane et de la société guyanaise dans son ensemble.

    Par ailleurs, ces associations semblent n’avoir aucune vision d’ensemble de la Guyane qu'elle soit politique et sociale, et à court, moyen et long terme.

    En effet, si ces associations amérindiennes étaient vraiment responsables, elles auraient entrepris de longs dialogues et des concertations préalables avec la société guyanaise et les acteurs politiques et sociaux locaux...

    ...Tout cela, avant de faire auprès du "Pouvoir français", des « requêtes », qui aurait un impact grave sur toute la Guyane sous sa forme actuelle.

    Amérindiens  de Guyane !  Cmment pouvez-vous faire confiance, à des politiciens de l'Hexagone, qui ne vous "connaissent" qu’à travers des rapports administratifs ?

     

     

     

     

     

    Communautarisme amerindien : 

     

     

    En ce qui me concerne,  je ne veux en aucuns cas de création à terme de « Bantoustans » amerindiens en Guyane, réalisés avec l’aide du colonisateur français.

    Je ne veux pas, d’un "futur communautarisme amérindien", qui s’appuierait sur le droit international et sur le "Pouvoir français" en Guyane.

    Autrement, les Amérindiens de Guyane, ne doivent aucunement se comparer aux Kanaks de Nouvelle-Calédonie.

     

     

     

     

     

    Le cas de la Nouvelle Calédonie :

     

     

    Car, la Nouvelle Calédonie en tant que territoire :

     

     

    - est dans un processus officiel de décolonisation reconnu et surveillé par l'ONU

    - dispose d’un statut officiel "sur mesure" de semi-autonomie politique

    dispose d’un gouvernement semi-autonome officiel

    - à un début de mono-économie industrielle  (secteur primaire)

     

     

     

     

     

    Le cas de la Guyane :

     

     

    Alors que, la Guyane en tant que que territoire :

     

     

    est factuellement une enclave géopolitique en Amérique du Sud

    - est colonisée par une puissance expansionniste européene

    - est un pays colonial avec un peuple qui ne dispose pas de son droit à l’autodétermmination

    est de facto la dernière colonie continentale d’Amérique du Sud et d’Amérique latine

     est dirigé administrativement et politiquement depuis Paris à 8000 kilomètres de la

    à une "haute administration coloniale" composée de « Français ethniques » exclusivement

    est non-viable sans les perfusions économiques françaises

    est un territoire enclavé dont la pseudo « économie » artificielle, a été volontairement et cyniquement « configurée » par le colonialiste français pour « fonctionner » esentiellement autour de l’activitité spatiale

    est notoirement sous-développé et arriéré

    est sans gouvernement propre

     

     

    Ensuite, les Amérindiens de Guyane sont en minorité démographique, et leurs modes de vie traditionnelle, les éloignent quelque peu, de la gestion administrative de la Guyane.

    En dehors de tout cela, je ne conteste pas les revendications  légitimes des associations amérindiennes de Guyane de manière générale.

     

     

     

     

     

    « L’égoïsme » de ces associations amérindiennes :

     

     

    Néanmoins, je regrette le fort « égoïsme » de ces associations amérindiennes, et leur manque d’unité de vue avec le reste de la société guyanaise.

    Je déplore leur idéalisation du « Blanc » en tant « qu’administrateur général en chef souverain » de la Guyane  et leur tespect du "Pouvoir français".

    Je déplore leur invocation du droit international auprès du "Pouvoir français" pour la Guyane sans avoir établi de concertations avec la société guyanaise

    D'ailleurs, je souligne que dans nombre de pays ou on applique le droit pour les  autochtones, cela peut poser de complexes et profonds problèmes.

    Au Canada par exemple, des réserves amérindiennes appliquent des règles coutumières spéciales ou sont dans des situations à problèmes :

     

    interdiction des mariages mixtes ou de relations avec des "Blancs"

    poches de pauvreté

    - ghettos

    - ect,...

     

     

     

     

     

    L’âme profonde  de la Guyane :

     

     

    Je conclus , en affirmant que le peuple guyanais respecte les amérindiens sont l’âme profonde de la Guyane et une de ces plus grandes fiertés.

    Mais ceux-ci ne doivent jamais oublier, qu’ils sont des autochtones de la Guyane en Amérique du Sud et en aucun cas, du pays du colonialiste, la France en Europe.

     

     

     

     

     

    Les amérindiens de Guyane satisfaits des recommandations de la Commission nationale consultative des droits de l’homme pour les sortir de la marginalisation

     

     

     


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  • Organisation des Etats américains (projection orthographique).

     

     

     

     

    L’impérialisme, le colonialisme et l’expansionnisme français... Les seuls d’une puissance européenne, toujours présents sur le continent latino-américain.    

    Toute l'Amérique latine continentale est "entrée dans l'Histoire" sauf la Guyane !

     

     

    OEA – Organisation des Etats Américains.

     

     

     


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    M. Louis-Georges Tin, votre interview du 10 mars 2014,  retranscrit en ligne  sur le site Totem-world (* et depuis retiré d'internet !) vous a définitivement démasqué !          

    Me concernant,  j’ai toujours su que M.Tin utilisait sa soi-disante lutte contre le racisme et les discriminations, dans le véritable but de constituer entre autres, une « communauté noire » de France.

    En effet, M. Louis-Georges Tin cherche à constituer une communauté de « race » dans l’Hexagone.

    Alors que les autres groupes de populations en France, forment des communautés sur la base : culturelle, ethnique, religieuse, linguistique, ou de l’origine géographique.

    En réalité,  M. Louis-Georges Tin ne respecte pas les différences culturelles et ethniques des groupes déjà constitués qu’il « cible ».

    En outre, M. Tin est en plus un "ntégrationniste"....

     Cependant , M. Tin, président du CRAN, n’est ni assez puissant, ni assez organisé, ni assez influent et ni assez intelligent, pour atteindre son objectif totalitaire et vouée à l’échec avec sa petite association (CRAN) d’ailleurs « crées par d’Autres » qui cherchent à tirer les ficelles dans les coulisses...

    Sachez M. Louis-Georges Tin, que pour constituer une vraie « société raciale » en France, il faut basiquement une armature juridique; c’est-à-dire prioritairement un système de classification ethno-racial légal, tout comme aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Pays-Bas, au Canada, au Brésil,....

    Car après tous, la « race » est une construction sociale...

    Hors en France, le terme de « race » bien que présent dans la Constitution française, reste juridiquement assez flou et « indéfini ».

    Ce qui veut dire, qu’aucune personne en France, n’est tenue de s’identifier à un groupe racial et ceux malgré les assignations raciales du groupe dominant.

    On notera que les "Asiatiques", ne sont relativement, quasiment plus considérés en Occident (y compris aux Etats-Unis !), comme faisant partie d'une "race" du fait qu'ont les considère comme"intelligents" et qu'on a toujours globalement accordé à leur culture non occidentale une "grande valeur civilisationnelle" ! 

     

     

     

     

     

    CRAN: Louis-Georges Tin fait le bilan du mouvement

     Histoire. Depuis quand les Asiatiques sont-ils racisés ?

     

     

     

     


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     M. Jean-Luc Mélenchon, la France est un pays d’Europe occidentale, et elle n’a strictement rien à faire dans les instances supranationales d’Amérique du Sud et d’Amérique Latine comme l’ALBA-TCP ou le MERCOSUR.

    D’ailleurs, la France ne devrait pas être présente au travers de la Guyane qui est une colonie en Amérique du Sud.

    Bref, ce qui grandirait la France ça serait de décoloniser la Guyane, donc concrètement de sortir cette enclave de la gouvernance directe du gouvernement français.

    Par ailleurs, la France s’honorerait à faire que la Guyane ai son propre gouvernement, ses propres institutions politiques, une économie prospère, qu’elle intégre l’UNASUR,...

    Entre autres, parce que c’est la France, qui maintient la Guyane dans  le chaos social, le sous-développement,... ceci, pour pouvoir dominer ce territoire sud-américain  et latino-américain « ad vitam aeternam ».

    Hors, pour les services stratégiques inestimables, que la Guyane rend à la France et à l'Europe, elle aurait du être riche et développée, mais au lieu de cela, elle ne récolte que le mépris et la condescendance de la "métropole européene " industrialisée  et opulente...

    Tout cela, parce que la France n’aime pas la Guyane et qu’elle ne souhaite pas qu’elle devienne un jour une « entité politique autonome forte » !

    Toutefois, il y a quelque chose qui relève de « l’irresponsabilité » dans le fait que la Guyane (un territoire continental extra-européen), ne soit pas pourvu de son propre gouvernement jusqu’au jour d’aujourd’hui.

     Alors, que le Danemark avec sa « sagesse politique » et sa culture nordique, a accepté de faire du Groenland une nation semi-indépendante.

     Je signale, que le Groenland est un territoire gigantesque, particulièrement riche en ressources naturelles mais avec une micro-population...

    Dans tous les cas, bravo au Danemark, pour ne pas avoir penché formellement pour une "politique hégémonique" sur le Groenland au lendemain de la Seconde guerre mondiale.

    Bravo au Danemark, pour ne pas avoir pris le prétexte impérialiste du sous-peuplement du Groenland pour développer une colonisation de peuplement « ethnocidaire » de l'île.

    Et bravo également, pour ne pas avoir cédé (à priori) à une « avidité incontrôlable », sur les immenses richesses et matières premières du Groenland !

    Autrement, M. Jean-Luc Mélenchon parle de la Guyane selon ses intérêts politiques du moment.

     D’ailleurs, M. Mélenchon a écrit en partie sur la Guyane dans un de ces livres à cause de son « délire latino-américain ».

    Bref, je Je déplore la « mentalité colonialiste » de M. Jean-Luc Mélenchon !

     

     

     

     

     

     

     Mélenchon voit une France expansionniste :

     

     

    J’ai une très mauvaise opinion de M. Jean-Luc Mélenchon  depuis que j’ai visité son blog...

    En effet, j'ai pu voir comment il projetait une « économie maritime » de la France dans le monde.

    Son projet économique et stratégique maritime étant "tourné vers une France" résolument expansionniste, qui utiliserait pleinement ses « possessions outremer ».

    Bref, l'expansionnisme de la France tel qu’exposé par M. Mélenchon, s’appuirait donc sur de « modestes colonies » réparties aux quatre coins du monde.

     

     

     

     

     

    Article de l’Express :

     

     

    Ainsi, l’incroyable article de l’Express ci-dessous (pour les abonnés)  n'a fait que renforcé mon point de vue.

    En effet, il montre clairement ceux qui arrive dans l'Histoire, aux peuples faibles, asservis, et sans aucune souveraineté.

    Néanmoins, M. Jean-Luc Mélenchon, n'a semble-t-il pas l'air de vraiment comprendre que son ambition expansionniste autour du MERCOSUR est tout simplement "irréalisable" dans une "Amérique du Sud de pays libres, souverains et indépendants".

     

     

    Mélenchon voit l’avenir de la France dans le Marché commun… d’Amérique du Sud

     

     

     


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  • Logo de l’ESA  (Agence Spatiale Européenne).

     

     

     

     

    Je le souligne, l'Europe est la seule « puissance spatiale majeure » qui ne lance pas de fusées depuis son propre sol géographique, c’est à dire en Europe occidentale !

    En conséquence,  la France et l’Europe se servent d’une colonie en Amérique du Sud (la Guyane), pour pouvoir « exister » dans le domaine spatial.

    Puisque sans la Guyane colonisée, la France et l’Europe, ne pourraient pas rivaliser face aux grandes puissances spatiales du monde.

    Ces grandes puissances étant : les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Japon, l’Inde,....

    En ce sens, la  Guyane est plus que très emblématique, de ce qu’expliquait l'Uruguayen Eduardo Galeano dans son essai les  « Veines ouvertes de l’Amérique Latine ».

    Pour information, « l’Europe spatiale », c’est une association de plusieurs états européens, et même d’un pays nord-américain, le Canada.

    Bref, la France et l’Europe assurent leur "puissance spatiale", grâce au fait colonial et à l’impérialisme.

     

     

     


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  • Le président Jacob Zuma est vu avec le professeur Carel Boshoff, fondateur d’Orania, lors de sa visite à Orania le 14 septembre 2010. Photo: Andre Grobler / SAPA

     

     

     

    C’est tout un symbole. Le président de l’Afrique du Sud, Jacob Zuma, qui se  rend dans l’enclave d’Orania, le 14 septembre 2010.       

    Le président sud-africain, qui dirige une nation peuplée de plus de 51 millions d’habitants, visite une enclave territoriale blanche, peuplé d’un peu plus de 1000 personnes.

    En effet, la Constitution sud-africaine, protège les droits des communautés culturelles du pays, et leur confère des droits étendus.

    Quoi qu'il en soit, il existe une forme d’admiration du pouvoir sud-africain noir pour la culture économique, l’esprit de libre entreprise et l’intelligence collective des Afrikaners.

    Notons que, Jacob Zuma comme Julius Malema, ont tous les deux visités Orania.

     

     

     

     

     

     Une soi-disant « nation arc-en-ciel »  :

     

     

    Par ailleurs, l’idée que la société sud-africaine est une « nation arc-en-ciel » est  selon moi un mythe .

    Un mythe, en partie fabriqué par les médias, après la chute de l’apartheid et l’élection de Nelson Mandela à la présidence de l’Afrique du Sud.

    La réalité étant qu’après l’apartheid en Afrique du Sud, il fallait à tout prix démanteler et en finir avec ce « Pouvoir blanc » raciste, suprémaciste, agressif et arrogant.

    Ainsi, autant par souci démocratique que par mauvaise conscience, le pouvoir politique, fut « remis » aux Noirs sud-africains.

    Cependant, le pouvoir économique du pays, lui, resta  aux mains des Blancs sud-africains.

     

     

     

     

     

    Une société ou les populations cohabitent :

     

     

    C’est un fait, dans la société sud-africaine actuelle, les populations cohabitent, mais elles ne se mélangent quasiment pas.

    D'ailleurs, les mariages mixtes entre Noirs et Blancs, sont extrêmement faibles.

    Evidemment, l’Afrique du Sud d’aujourd’hui, n’est pas l’Afrique du Sud du temps de l’apartheid, mais certaines habitudes ont la vie dure.

    Signalons que dans ce pays africain, il existe une politique de discrimination positive pour les Noirs dans : les écoles, les universités, les transports publics, les emplois,...

    Toutefois, les tensions raciales et le racisme perdurent dans ce pays : les meurtres de fermiers blancs par few Noirs sud-africains, les « luttes » de Blancs sud-africains pour le choix d’ue école selon la « culture » des élèves, les insultes raciales de personnalités blanches sud-africaines envers les Noirs sud-africains, la tendance des Blancs à se regrouper en quartiers protégés homogènes,…

     

     

     

     

     

    Un certain « équilibre social » :

     

     

    Autrement, si un de ces  jours, les Blancs en Afrique du Sud, perdaient « totalement » le contrôle de l’économie sud-africaine et ceux au profit de la majorité noire du pays, ils se pourrait bien qu'ils se mettent alors sérieusement à penser à quitter en masse et définitivement l’Afrique du Sud pour des pays occidentaux !

    D’ailleurs, certains l’ont déjà fait, bien qu’au gré des conjonctures, certains soient revenu en Afrique du Sud.

    Bref, cet « équilibre social » (le pouvoir politique pour les Noirs et le pouvoir économique pour les Bancs) mis en place après l’apartheid bien qu’inégalitaire serait rompu s'il advenait un jour une « hégémonie socio-économique noire » en Afrique du Sud.

    Dans cette situation, les Blancs sud-africains verraient leur statut collectif dans la société sud-africaine trop « fragilisé ». En réaction, ils se mettraient (à priori) à fuir massivement le pays pour s'installer essentiellement dans divers nations occidentales...

     

     

     

     

     

     Afrique du sud. Tous ces Blancs qui font leurs valises

     Les familles mixtes restent l’exception au pays de Mandela

     Afrique du sud : une nation arc-en-ciel ?

    La minorité blanche toujours aux commandes de l’économie sud-africaine

     

     

     


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  • Le president brésilien Michel Temer et son gouvernement lors de son arrivée en Chine en septembre 2016.

     

     

     

    Au Brésil, le pouvoir politique, social, économique et culturel, est depuis des générations et des générations « confisqués » par les « Blancs ».

    Dans ce pays sud-américain,,  le racisme est structuré pour assurer la suprématie raciale  des "Blancs ".

    D'ailleurs,  le racisme systémique et la ségrégation sont incontestables au Brésil.

     

     

     

     

     

    Le Grand reporter Glenn Greenwald ébahi par le racisme brésilien :

     

     

     

    Et même le Grand reporter Glenn Greenwald s’en rend compte, avec son tweet (ci-dessous)  relatif au déplacement du gouvernement brésilien en Chine.

    M. Greenwald, semble en particulier ébahi par la composition "monocolore" du gouvernement brésilien.

     

     

     

     

     

     

     

     Vous avez raison M Glenn Greenwald, c'est en fait une "faillite anthropologique" pour le Brésil qui a toujours eu du mal avec "ce qu'il est".

    Notez également d'un point de vue structurel, l’échec global des Afro-Brésiliens dans l’enseignement supérieur au Brésil.

     

     

    Dos dez cursos mais concorridos do vestibular da USP, seis não possuem nenhum estudante negro

     

     

     Note : dans le lien ci-desssus, la photo originale de l’article (en portugais) a été volontairement encryptée postérieurement à sa publication !

    La photo de l'article, montrait clairement « l’homogénéité sociale et monocolore » des étudiants de l’université de São Paulo.

     

     

     

     

     

    Images annexes : mises à jour.

     

     

    Ci-dessous, quelques clichés contemporains du « Pouvoir » au Brésil, qu’il soit : politique, social, économique ou culturel.

     

     

     Des membres du Sénat brésilien réagissant de façon enthousiaste après la destitution de la désormais ex-présidente du Brésil Dilma Rousseff.

     

     

     

     Les membres de la Cour suprême du Brésil.

     

     

     

      Etudiants à l’université de São Paulo.

     

     

     

    Yohei Suzuki, président et PDG de Fuji Dream Airlines, est félicité par Paulo Cesar Silva, président et PDG de la direction Embraer Commercial Aviation.

     

     

     

     Couverture du ELLE brésilien du mois de janvier 2016.

     

     

     Bal des débutantes au Clube Curitibano en date du 06/ 10/ 2018.

     

     

     


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    La France et l’Europe en ceux qui concerne l’espace, se servent du sol et de la position géographique de la Guyane qui se trouve en Amérique du Sud.

    En effet, la Guyane (qui est un territoire géographiquement non-européen !) est « indispensable » dans le domaine spatial à la France et à l’Europe.

    La France et l’Europe, deux entités politiques, incapables de lancer des fusées depuis leurs propres sols géographiques, c'est à dire en Europe occidentale !

    Deux entités, qui au nom de leurs « beaux projets spatiaux » parmi les plus prestigieux et rentables, exploitent une Guyane sans aucune souveraineté.

    Une Guyane qui a hélas ratée le « train historique de la décolonisation » …

    Cependant je l’affirme, il n’y a strictement aucun avenir pour la Guyane avec la France colonialiste.

    En effet, cette puissance expansionniste, assure l'asservissement, la « non-évolution » et la « féodalisation » de ce territoire sud-américain et latino-américain.

    Ceci en exerçant, une domination politique, économique, culturelle et militaire en Guyane.

     

     

     


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    Reykjavik  (Islande).

     

     

     

    La façon dont l’Islande à structurellement organisée son développement économique et social  est remarquable et vraiment digne d’intérêt.

    L’état insulaire de l’océan Atlantique Nord, situé entre le Groenland et la Norvège, à un PIB plus important que plusieurs pays africains peuplés de millions d’habitants.

    Actuellement, le P.I.B de l’Islande est de 16,94 milliards USD (2015).

    On remarquera la « puissance du produit intérieur brut islandais » par rapport à la taille de la population de l’Islande ce qui est vraiment à signaler.

    L’Islande, c’est aussi un pays riche qui dispose d’une économie moderne qui ne s’appuie aucunement sur l’extraction de matières premières.

    L’Islande c’est un pays d’une grandiose et remarquable modernité.

    C'est un pays qui dispose d’un remarquable système universitaire, d’un ingénieux système de production d’énergie pour la population, d'un excellent réseau routier, d’un système bancaire rentable,...

    Bref, l’Islande prouve au monde  qu’on peut être un pays peu peuplé mais prospère et développé.

    D’ailleurs, j’avoue avoir une vision globalement positive sur cette nation.

     

     

     


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     Succès de librairie, très bien vus par ses lecteurs, référencé à la Fnac,...

     Le polar de Boris Dokmak, « Les Amazoniques », publié le 9 avril 2015, s’il s’avère un thriller asphyxiant, violent et pleins de mystères, et calibré pour un public occidental qu’il transporte dans la jungle guyanaise, n’en reste cependant pas moins, un ouvrage remplis de clichés.

    En effet, l’ouvrage met en exergue : a) le colonialisme français, b) l’impérialisme américain, c) la condition coloniale de la Guyane, d) l’irresponsabilité et l’arrogance scientifique des chercheurs américains e) « la grande vulnérabilité » des Amérindiens

    Bref, ce polar, n'a que pour seul et unique mérite de relever le "caractère intrinsèque sud-américain et extra-européen" de la Guyane en établissant un "parallèle" tacite entre ce territoire et le Venezuela.

     

     

     

     

     

    « Punition administrative » et  « enfer vert » :

     

     

    Il faut souligner, que Boris Dokmak, dans son polar, présente dans un premier temps, la Guyane comme étant une « punition administrative » pour son protagoniste, le lieutenant Saint-Mars, qui vit et exerce sa profession en France.

    On peut clairement voir d'ailleurs dans cette trame narrative, une sorte de métaphore du bagne en Guyane ainsi que du concept de "l'enfer vert" que tout esprit occidental identifie à l'Amazonie ou aux territoires amazoniens.

     

     

     

     

     La dignité de la Guyane :

     

     

     En second lieu , l’auteur "martèle" dans l'esprit du lecteur, l’idée que la Guyane est un territoire sous domination française.

     Cela est évident dans son thriller (utilisation répétée du nom colonial toujours officiel et anachronique de la Guyane).

     En fait, il n'est tout simplement pas nécessaire de dénommer un territoire sans continuité géographique avec sa "métropole", par un nom colonial, pour signaler que celui-ci n'est ni souverain ni indépendant.

    Sur ce point précis, cela nuit gravement à la dignité de la Guyane en Amérique du Sud et partout ailleurs.

     Dans le cas de la Guyane, il s'agit d'une question politique toujours "non résolue", et ceux malgré la soi-disant "départementalisation" de ce territoire et sa "promesse égalitaire".

     Autrement, l'auteur présente ce territoire sous tutelle, sous un angle tiers-mondiste, exotique, "apocalyptique" et en tant que  « possession d’Amérique du Sud oubliée ».

     

     

     

     

     

    Le "plus grand scandale sanitaire et humain ignorée du XXe siècle" :

     

     

     

    En effet , son thriller quasi-horrifique, ne se déroule pas en Europe occidentale, mais est transposée en Amérique du Sud, en Guyane.

    La Guyane, un territoire dont la « sud-américanité » bien qu’occultée habituellement, semble bien pratique à l’auteur qui y projette son polar amazonien.

    Tout cela à priori, sur le fond d’une affaire très grave inspiré de faits réels : le projet Sunshine. Le "plus grand scandale sanitaire et humain ignorée du XXe siècle".

    Et également, le nom de code d’une expérience scientifique authentique jusqu’a alors restée secrète, et jusqu’a ce jour réfutée par le gouvernement américain.

     

     

     

     

     

    Suffisance colonialiste  :

     

     

     Par ailleurs, jai pu constaté sur le internet que nombre de lecteurs critiques du livre de Boris Dokmak, considéraient le Centre Spatial Guyanais (CSG) comme je cite : 

     

    Le « Centre Spatial Français » ou bien encore encore le  « Centre Spatial Européen »...

     

    Je signale, que la Guyane a été “transformée” en base spatiale pour les besoins stratégiques de la France (et de l‘Europe !), sur décision du nationaliste et homme politique français Charles de Gaulle (qui évidemment, n'a tenu aucun compte, du "droit a l'autodétermination du peuple guyanais").

     Bref, tout cela ,  exprime vraiment un complexe de « supériorité occidental », de la suffisance colonialiste et du mépris pour les « peuples du Sud ».

     Autrement, l’auteur Boris Dokmak est totalement  ridicule quand dans une de ces interviews au sujet de son polar ethnique " Amazoniques" il ose déclarer sans gêne  : « il fallait des Indiens qui soient dans la République »...

     C’est une absurdité totale !

    Par ailleurs, j’informe Boris Dokmak  que les Amérindiens sont présent depuis 10 000 ans  dans l'aire géographique qui est aujourd’hui la Guyane.

    D’ailleurs historiquement parlant, les populations amérindiennes de Guyane n’ont pas été spécifiquement et formellement consultés par les autorités françaises, pour le vote de la loi de départementalisation de 1946 ! (il faut savoir que les Amérindiens de Guyane sont structurellement "exclus" de la société guyanaise à cause du colonialisme français historique en Amérique du Sud.)   

     Par contre, la France impérialiste, colonialiste  et expansionniste, a manipulé et amadoué les petits notables politiques créoles locaux « assimilés », ainsi que le reste du peuple guyanais pour accepter la « départementalisation »... en Amérique du Sud !

     Une « départementalisation » n’étant en fait, que la prolongation politique du colonialisme français en Guyane et de son expansionnisme en Amérique du Sud.

     Je souligne, que le choix crucial d'une départementalisation de la Guyane, n’a même pas été adopté par voie de référendum local en Guyane en 1946 !

     

     

     

     

     

     Le Projet Sunshine :

     

     

     Quoi qu'il en soit, contrairement au livre de Boris Dokmak, le Projet Sunshine se serait déroulé au Vénézuela sur les Amérindiens  yanomamis.

     Ce Projet Sunshine, ayant été un sous-projet du Projet Manhattan.

     Car il y aurait eu deux sous-projets, le premier fut reconnus par les Américains, il s'agirait du Projet Gabriel. 

    Son but aurait été mesurer la pollution nucléaire des résidus de strontium 90 qui auraient été recherchés.

    Le second, le Projet Sunshine serait toujours nié. Son but aurait été   d’expérimenter une pollution nucléaire, sur une population isolée, non altérée et homogène d’un point de vue génétique.

    Donc ça serait dans ce contexte, qu'aurait débuté à l’Institut Rochester dans l’Ohio (USA) dans le cadre du projet Sunshine, des expériences à l’échelle 1.

    Il  aurait été choisi des malades en fin de vie, dans le but de leur injecter des produits hautement radioactifs.

    On aurait essayé par ce procédé de mesurer les doses létales. Il y aurait eu trente cas. Par ailleurs, il y aurait aussi eu des essais sur des personnes saines.

    Néanmoins, les essais scientifiques sur ces "cobayes" cessèrent rapidement pour rechercher une "population non-altérée".

    L’ethnographe américain, Napoléon Chagnon, serait alors entré en scène, et aurait proposé de prendre contact avec les Amérindiens yanomamis.

    Une série d’expéditions se seraient enchainé de 1958 à 1967. Elles auraient été financées par la Commission Energétique Atomique Américaine.

    Il aurait été procédé à deux vagues d’irradiations par injection sous prétexte de vaccination suivies de prises de sang.

    Cependant, quand des ethnographes vénézuéliens et brésiliens auraient eu vent de ce qui se tramait, les Américains cessèrent leurs scandaleuses expériences.

    Et, en compensation, les Américains auraient organisé avec l’ONU, une dernière campagne de vaccination contre la rougeole avec un « vaccin sale ».

    Il y aurait eu un taux entre 35% et 55% de cas de mortalité sur une population qui n’avait jamais de toutes façons été comptabilisée...

     

     

     

     

     

    Auteur :  Boris Dokmak

    Titre :  Les Amazoniques

    Broché :  428 pages

    Editeur :  Ring ( 9 avril 2015 ) 

    Collection : Thriller

     

     

     


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  • M. Roosevelt Skerrit (à gauche , en chemise jaune), Premier ministre de la Dominique, s’entretenant avec M. Serge Letchimy (au centre-gauche, jambes croisées), président de la région Martinique, ainsi qu'avec M. Eric de La Moussaye, ambassadeur de France auprès de l’OCS ("chaperon diplomatique" de la Martinique pour la circonstance), et avec le représentant du gouvernement français, M. Fabrice Rigoulet-Roze, préfet de la Martinique, tous composant la délégation française qui s’est rendue sur l'ile voisine de la Dominique victime du passage de la tempête Erika

     

     

     

     

    La Martinique qui est une dépendance/possesion française (DOM), devrait pouvoir pleinement assumer son statut officiel auprès des états-nations des Caraïbes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     Ceci, en révélant toujours exactement,dans les médias à destination du grand public, la fonction officielle de Mr Serge Letchimy qui est celle de « Président du Conseil Régional  de la Martinique ».

     

     

     

     

     

     

     

    Cela aurait probablement éviter au Premier ministre Roosevelt Skeerit, de poster sur son compte Twitter, que Mr Serge Letchimy est le : « President of Martinique ».

     

     

     

     

     

    Etat et région sur le terrain à la Dominique

     

     

     

     


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    « C'est très provocateur », reconnaît l'auteur, à propos de son essai Le cul-de-sac des Amérindiens du Québec, en voie de publication et dont Le Soleil a obtenu copie. « C'est un tabou. Les gens ont peur. Les politiciens deviennent vert pâle. Le politically correct est extrêmement puissant. »   (Lire la suite dans les deux liens ci-dessous). 

     

     

     

    En ce qui me concerne, je ne partage absolument pas la vision condescendante dans son essai de M. Michel Lemieux sur les autochtones et les réserves.

    Car de façon générale, je suis convaincu que les Amérindiens du Québec ont le droit naturel de vouloir sauvegarder leur identité dans leur propre pays.

    D'ailleurs, Michel Lemieux devrait comprendre que les Amérindiens du Québec forment des populations dont les cultures pourraient être fortement altérées  par les cultures québécoise, canadienne et par la civilisation occidentale dans son ensemble.

    D'autre part, il est vrai que certaines cultures peuvent ressentir le besoin de vivrent en « circuit fermé » pour préserver leur identité culturelle, ce que je peux comprendre.

    Par ailleurs, le multiculturalisme est selon moi, une question complexe, que cela soit au Québec ou bien au Canada.

     Ainsi, vouloir que certaines populations entrent dans un soi-disant processus d’inclusion dans une société donnée, n’est pas toujours aussi simpleEn fait, j’ai toujours grandement admiré les populations amérindiennes d’Amérique du Nord, parce que fondamentalement nombre d'entre elles ne recherchaient pas une acceptation sociale, ou une égalité civique,  avec les populations blanches qui étaient devenues maîtres de leurs pays.

     Pour ce qui est de certaines élites amérindiennes du Québec, je pense qu'elles essaient à leurs manières, de préserver la survie de leur peuple et de leur culture, ceci après que leur groupes respectifs aient perdu leurs terres ancestrales.  Mais, comme il s’agit d’humains, il y aussi des dérives.

    Surtout, Il ne faut tout de même pas oublier,que ce sont les Européens qui ont imposés leur civilisation, dans ce qui était la terre des Amérindiens.

    Ces Amérindiens, qui désormais sont "déboussolés", ont de grandes difficultés, à trouver leur « repères » dans cet « Autre monde ».

    Dans tous les cas, M. Michel Lemieux, sachez que la fierté chez les Amérindiens d’Amérique du Nord n’est tout simplement pas un vain mot. 

    Je concluerais, en disant  que seul des rapports interculturels ou le respect mutuel des cultures seraient assuré des deux cotés, devraient être envisagés pour l’intéret de tous.

     

     

     

    Le «cul-de-sac démentiel» des réserves

    «Cul-de-sac» des réserves autochtones: une approche dépassée, selon Sioui

     

     

     


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     - Lire l'article ci-dessous -

     

     

    La préservation des forêts de de ce que je nommerais la zone du « plateau des Guyanes remanié » peut apparaitre comme un bien « noble projet ».

    Toutefois, le documentaire en ligne « Iwokrama » préfigure de façon implicite de nombreuses choses que les internautes ne perçoivent pas spécialement.

    Néanmoins, je reconnais à ce documentaire cette efficacité toute anglo-saxonne du management et de la politique de relations publiques...

    En effet, dans le documentaire le premier intervenant, invoque clairement un « motif géologique », pour justifier que le Guyana, le Suriname ainsi que la Guyane, soient les seuls intégrés à ce soi-disant projet environnemental international.

    Bref,  il y aurait des choses à dire sur ce premier intervenant "rémunéré "qui n’est qu’une des « interfaces » de ce dispositif sous l’égide de l’ONU.

    Un premier intervenant, payé, pour faire de la communication alambiquée sur le ”plateau des Guyanes remanié,“

    Un premier intervenant, qui ne soulignera à aucun moment du documentaire, que la présence française sur le continent sud-américain est une anomalie !

    Car il se trouve qu’en réalité, le plateau des Guyanes n’est pas à proprement parler, une région naturelle en Amérique du Sud comme le sont par exemple, l’Amazonie ou bien la Cordillère Andes.

    Le plateau des Guyanes, est une zone géologique sud-américaine faut-il le rappeler. Une zone géologique sud-américaine instrumentalisée sur des bases totalement arbitraires par des impérialistes internationaux, pour pouvoir « isoler » trois territoires bien précis du reste du continent; et de façon générale, « balkanisé » l’Amérique du Sud !

    Bref, dans leur obssesion pour l’Amazonie,  les impérialistes internationaux n’hésitent pas à falsifier la zone géologique sud-américaine du plateau des Guyanes dans leur rêve de « contrôle » de l’Amazonie (au moins en partie).

     

     

     

     

     

    Gérer internationalement trois forêts amazoniennes :

     

     

    Toutefois, personne n’est dupe concenenant le projet Iwokrama. Car, on tente de faire quasiment pression sur les pays parmi les plus pauvres et les moins développés du continent sud-américain ainsi que sur le seul et unique territoire continental colonisé d’Amérique du Sud.

     

    Parce qu’en effet. avec le projet  « Iwokrama » il est bien question :

     

    • "D’acheter" à deux pays sud-américains (perçu comme étant des "Etats faibles et insignifiants"), une partie de leur souveraineté sur leur territoire amazonien respectif
    • D’avoir un « contrôle » territorial "quasi-total" sur la Guyane, un territoire extra-européen colonisé, sous gouvernance directe d'un gouvernement européen (France)
    • De "restreindre significativement" l'accès aux terres de l'intérieur, et "favoriser" uniquement l'installation des populations locales sur le littoral, que cela soit au Guyana, au Suriname ou en Guyane
    • D’exercer de la recherche scientifique au Guyana, au Suriname et en Guyane
    • D’avoir  un contrôle, voire d'exercer une co-gestion internationale sur les forêts amazoniennes de ces trois territoires distincts
    • De promouvoir l’éco-tourisme international au Guyana, au Suriname et en Guyane

     

     

    Bref, c'est une vraie politique néo-coloniale et coloniale pensée et planifée  à l’échelle internationale, à l'encontre d'une zone de l'Amérique du Sud.

     

     

     

     

     

    Décolonisations du Guyana et du Suriname :

     

     

    Historiquement, les Européens, n’ont absolument rien fait au sortir des décolonisations pour le Suriname et le Guyana. 

    S’en débarrassant, les abandonnant, et les laissant sombrer dans des régimes autoritaires et dans la misère la plus profonde après les avoir exploités durant des siècles, sans les avoir hautement développés et modernisés. 

    Cependant, les impérialistes se sont rendu compte, que ces « pays perdus » en Amazonie, ont quelques valeurs à leurs yeux d’Occidentaux opulents et bien-pensants. 

     

     

     

     

     

    « Embarquer » un territoire non-indépendant et non-autonome dans le projet  :

     

     

     Néanmoins, ces Occidentaux opulents (grâce à l'industrialisation ainsi qu'au libéralisme), promoteurs de leurs beaux projets environnementaux pour l’Amérique du Sud, croient-ils sérieusement que la Guyane va elle aussi  se transformer en  « immense parc vert »  et « vendre » son territoire à cause de leurs « soucis » pour l’environnement  ?

    La Guyane, qui en Amérique du Sud, n'est qu’une simple « entité administrative » avec un peuple politiquement mineur !

     

     

     

     

     

    Méfiance envers le projet « Iwokrama » :

     

     

     En réalité, je me méfie de ces soi-disant protecteurs de l’environnement étrangers.

    En effet, je perçois  l’initiative internationale connu sous le nom de projet Iwokrama comme un projet néo-colonial, onusien et international !

    Un projet néo-colonial, dont la réserve d’Iwokrama qui se trouve au Guyana, serait la parfaite « vitrine de promotion » internationale.

     

     

     

     

    Le projet Iwokrama, « étendu » à tous les autres immenses pays amazoniens :

     

     

    Bref, imaginez un instant, imaginez seulement, le projet Iwokrama, « étendu » à tous les autres immenses pays amazoniens d’Amérique du Sud, je dis bien tous (Brésil, Colombie, Bolivie, Venezuela, Pérou ,...) et ceux au « nom du bien de l'humanité »  !

    Alors, que les impérialistes internationaux,  « étendent » le projet Iwokrama, à tous les autres immenses pays amazoniens d’Amérique du Sud. Qu'ils osent le faire !

    Donc, avec ce projet Iwokrama (et son "néo-colonialisme rampant"), comment ne pas comprendre la « paranoïa » du Brésil concernant les diverses « ingérences » sur son Amazonie ?

    Il semblerait donc bien, que le néo-colonialisme, l’internationalisme et les germes de la « balkanisation » de l’Amérique du Sud "planent" sur le continent.

    En outre, il apparait clairement que la mentalité colonialiste ainsi qu'une logique de prédation perdurent encore de nos jours.

    En conclusion, il faudrait que tous les pays souverains d'Amérique du Sud comprennent que le Guyana, le Suriname et la Guyane, ne doivent géopolitiquement pas devenir une "zone grise" et isolée de l'impérialisme sur le continent.

     

     

     

     "Iwokrama", un documentaire sur la forêt des Guyanes

     

     

     


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    La France qui se veut et s’auto-proclame le "pays des droits de l’homme" de même qui se veut être une nation universaliste n’est en fait pas une société égalitaire.

    En autres, parce que l’ethnocentrisme et l'eurocentrisme en France restent très forts, et que le discours général français, manipule les masses en comparant le processus d’assimilation des immigrés d’origine européene ( Italiens, Espagnols, Polonais,… ) à la société française du siècle dernier, en le promouvant et l'exaltant comme exemple pour les populations d’origine extra-européene issues des colonies de l’ex-empire français et de l’Outre-Mer  d’aujourdhui.

    D’une part, la France est une société qui préfère contourner voire nier les problème structurels du racisme pour "privilégier"la lutte contre le sexisme.

    Une lutte probablement considéré comme "politiquement plus correct "( et plus gérable ) et comme un sujet beaucoup moins « sensible ».

    D’autre part, le racisme structurel que subit l’immigration de travail en France, ne semble pas être pris au sérieux dans le pays.

    Pourtant, n’importe quel observateur étranger, pourrait remarquer que les individus d’origine immigré sont fortement assignés aux métiers les plus ingrats et les moins qualifiés chose dans lesquels ils sont surreprésentés dans l’hexagone...

    Une autre grande hypocrisie, est qu’en France on sait parfaitement que les enfants d’immigrés échouent de façon importante dans le système scolaire français, grâce à des statistiques, dont le caractère culturel ou ethnique est dissimulées au grand public, pour n’y faire transparaitre qu’un "aspect social".

     D’ailleurs , en France, une bonne partie des associations soi-disant anti-racistes sont en fait des instruments/des agents du pouvoir français, qui travaillent à assigner insidieusement, à définir, et à "canaliser" au mieux les populations immigrés souvent en difficulté socio-économique et victimes de discriminations raciales, pour leur permettrent de « s'intégrer » à la société française.

    Et puis en France,  les Français  vilipendent les immigrés pour leur « communautarisme ». 

    Cependant, quand les Français eux se retrouvent en Afrique en tant qu’expatriés, ls vivent entre eux, y compris dans ce qui est dénommé : Outre-Mer. 

    Autrement, le Français s’octroie encore le droit aujourd’hui de coloniser des peuples extra-européens aux quatre coins du monde, comme si cela était un acte normal.

    Autre sujet, quand on y réfléchit bien, l’assimilation totale de  « l’immigré  »  en France semble être une obsession nationale française. 

    Personnellement, je rejette vigoureusement cette idée de l’assimilation des populations immigrés en France, parce que celle-ci, est une forme de colonisation culturelle ou une population perd définitivement « l’âme » de sa propre culture.

     

     

     


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    Le Québec, est vraiment un beau pays. C'est une « nation » dotée d’une large autonomie politique, d’une économie moderne post-industrielle, et c'est aussi une province francophone du Canada.

    Je n’entrerais pas dans les détails de la longue et grande histoire du mouvement indépendantiste québécois.

    Cependant, on peut constater de la « solidarité sans faille » accordée par la France  au Québec depuis des décennies...

    Et cela, en dehors de la période de la présidence de Nicolas Sarkozy.

     

     

     

     

    Pourquoi cette « solidarité sans faille »  ?

     

    Ma réponse est que la relation privilégiée entre le Québec et la France, remonterait clairement à la visite officielle du président de la République française Charles de Gaulle au Canada en 1967.

     

     

     

     

    Avec Charles de Gaulle le monde découvre le « Québec politique » :

     

    Cette visite officielle, au cours duquel, de Gaulle prononça son fameux discours : « Vive le Québec libre ! » dans la ville de Montréal.

    Conséquemment, son discours déclencha la plus grave crise diplomatique connue à ce jour entre le Canada et la France.

    Sirtout, elle fit connaitre le « Québec politique » au monde entier.

    Ainsi, la France avec Charles de Gaulle, prit à ce moment-la objectivement parti pour la souveraineté du Québec ! 

     

     

     

     

    Droit à l’autodétermination des peuples à « géométrie variable » ?  :

     

    Alors, qu’est-ce qui pourrait bien différencier le Québec dans son droit à vouloir disposer de lui-même, de l’ensemble des territoires de l’Outre-Mer sous domination française, en dehors, des questions historiques, légales et identitaires ?

    Les peuples de l’Outre-Mer, n’auraient-ils pas eux aussi des spécificités culturelles aussi significatives que celles du peuple québécois ?

    Les peuples de l’Outre-Mer, ne devraient-ils jamais pouvoir utiliser le concept du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes pour décider de leur propre destin ?

    Les  peuples et les territoires de l’Outre-Mer, devraient-ils donc rester éternellement « prisonniers » de quelques articles de la constitution française de 1958 et du concept constitutionnel de  « l’indivisibilité de la république »  ?

     

    Le Québec, aurait-il pour la France un « droit moral supérieur » et une plus grande légitimité à vouloir "échapper" à la domination et à l’assimilation anglo-saxonne de l’Etat fédéral canadien, alors que les peuples et les territoires de l’Outre-Mer devraient être soumis à l’acculturation hexagonale voire européene et surtout à la domination politique, économique, culturelle et militaire française ?

    En ce sui me concerne, je pense que évidemment que non ! 

    Cependant, je concéderais de très grandes faiblesses au crédit des peuples coloniaux de l’Outre-Mer, comme : 

     

    • leur manque de conscience identitaire structurée
    • leur manque de conscience politique structurée
    • leur manque d’intelligence collective et d’organisations de masse
    • leur manque de discipline
    • leur manque de « volonté politique réelle »
    • leur manque notoire de doctrine
    • leur manque notoire de stratégie

     

     

     

     

    Au final, le Québec est bien plus  « chanceux » et avancé que n’importe quel territoire de l’Outre-Mer sous domination française. 

    D’abord, parce que même si certains Québécois définissent leur « nation » comme  une « colonie sous le joug d’un Canada anglophone», celui-ci se trouve être tout de même bien et sans conteste bien plus avancé : 

     

    • d’un point de vue civilisationnel 
    • en terme de droit à l’autodétermination ou de gestion de ses propres affaires politiques
    • d’institutions politiques, économiques et sociales
    • en terme d’identité structurée et formalisée
    • en matières d’infrastructures modernes voire ultra-modernes
    • au niveau économique

     

    Que n’importe quelle « possession française » de l’Outre-Mer ! 

     

     

    Et puis, la  Belle Province , est « soutenue » par un "pays important" dans le monde. D’ailleurs, en ce qui me concerne , je considère le Québec comme une « colonie supérieure »  (  au même titre que l’Ecosse ou la Catalogne ).

    Cela parce que le Québec est quasiment une nation au sens plein du terme. Une « nation dominée certes, mais une nation tout de même !  »

    Bref, le sort du Québec, n’est en ce sens, en aucun cas comparable aux colonies et semi-colonies que sont par exemple les possessions françaises d’outre-mer.

     

     

     

     

    « Le Petit Larousse »  édition 2007 :

     

    La France, est un pays, dont la plupart des chefs d’état pratiquent la politique du  « Ni-Ni » à l'égard du Québec et dont la population, soutient ou bien alors comprend sa cause nationale ( discussions privées, forums, officiels, ect... ).

    A tel point, que cela va même en France, jusqu’au dictionnaire  « Le Petit Larousse » édition 2007, qui présente dans sa partie « drapeaux du monde », le  drapeau du Québec au même titre que les drapeaux d’états souverains et indépendants du monde.

     

     

     


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    Le Groenland (en groenlandais Kalaallit Nunaatest une gigantesque ile grande comme quatre fois la France, située au N.-E de l’Amérique du Nord.

    C’est un pays constitutif du Royaume de Danemark ainsi qu’un territoire d’outre-mer associé à l’Union européenne.

    Politiquement, le Groenland est une démocratie parlementaire avec une monarchie constitutionnelle .

    La capitale du Groenland est Nuuk.

    Le Groenland est localisé entre les océans Arctique et Atlantique, à l’est de l’archipel arctique canadien, au nord-est de l’Amérique du Nord.

    Le territoire a été politiquement et culturellement associé à l’Europe — en particulier à la Norvège et au Danemark, les puissances coloniales, ainsi qu’à l’île voisine d’Islande — pendant plus d’un millénaire.

     Cependant, d’un point de vue physiographique, le Groenland fait partie du continent nord-américain.

     

    Paysage du Groenland.

     

     

     

     

    Un territoire très autonome sous tutelle danoise :

     

     

    Le Groenland, cest un pays peuplé d’environ 56 245 habitants, et un territoire autonome sous tutelle danoise qui dispose de son propre parlement et de son propre gouvernement.

     D’ailleurs, depuis son inscription sur la liste des territoires non-autonomes de l’ONU, on peut considérer que la puissance de tutelle danoise à accordée au Groenland  un large statut d’autonomie.

     Le Groenland peut ainsi par l’étendue de ses pouvoirs politiques être qualifié de pays semi-indépendant.

     Et ce très vaste territoire glacé,qui ne vit quasiment que de la pêche et également grâce aux subsides du Danemark, regarde avec beaucoup plus d’intérêts son sous-sol qui regorge de nombreuses richesses (uranium, terre rare, fer, cuivre' or,..).

     En effet, ces ressources naturelles sont désormais exploitables grâce à la fonte des neiges du au réchauffement climatique.

     

     

     Des habitantes du Groenland.

     

     

     

     Le Groenland  favorable à l’exploitation de son uranium :

     

     

    Le Groenland est d’ailleurs favorable à l’exploitation commerciale de son uranium. Son parlement l’a approuvé avec 15 votes pour et 14 contre.

     Néanmoins, il faut savoir que le Danemark (sa métropole) menait une politique   « anti-nucléaire »  depuis un quart de siècle.

     

     Sioi qu'il en soit, il semblerait que Copenhague ait maintenant totalement changé d’orientation en matière de politique nucléaire .

     Alors depuis 2009, le Groenland qui est bien plus autonome politiquement, est à priori apte à gérer ses matières premières .

     

     

    L’Inatsiartut (le Parlement groenlandais) .

     

     

     

    Toutefois, le royaume du Danemark conserve ses pouvoirs régaliens, comme la politique internationale et la défense par exemple.

     Ainsi, il appartient à Copenhague de décider en dernier ressort s’y l’uranium du Groenland doit être exploité et exporté.

     En effet, les enjeux économiques, géopolitiques et géostratégiques , sont énormes.

     Ces enjeux entre autres sont les suivants :

     

    • faire du Groenland ainsi que du Danemark des acteurs significatifs sur le marché international  de l’uranium au même titre que le Canada, l’Australie et le Kazakhstan qui sont les grands pays exportateurs de cette ressource
    • briser le monopole de la Chine dans le domaine des terres rares utilisée dans la fabrication des smartphones , des voitures,...
    • permettre au Groenland devenu indépendant économiquement de pouvoir réclamer son indépendance politique
    • ect...

     

    Un couple de Groenlandais quelquepart au Groenland.

     

     

     

     Opposée à l’extraction de l’uranium :

     

     

     Sans compter qu’Alcoa, géant américain de l’aluminium aurait l’intention d’implanter une usine dans un village de 3000 habitants.

     Mais voila, la majorité de la population groenlandaise semble opposée à l’extraction de l’uranium et le vote au parlement local sur cette question fut très serré.

     

     

     

     

     

    La question de l’indépendance au Groenland :

     

     

     Le Groenland est un immense territoire qui dispose d’un statut politique puissant malgrès sa faible population.

    Quoi qu'il en soit, la forte identité du peuple groenlandais fait que celui-ci n’a pas peur d’envisager son avenir sans la tutelle du Danemark.

    En effet, le Groenland a été colonisé durant tellement longtemps que son « peuple philosophe » voit les choses sous l’angle du « temps long ».

    Aujourdhui, le Danemark serait à mon avis bien plus une puissance « expansionniste » qu’un « colonisateur » au Groenland.

     

    C’est donc une affaire à suivre.

     

     

     


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